This morning before work, I had to put my bank in Paris on the phone through to my bank in Tokyo.
I seriously don’t know which one of the two spoke the least English.
This morning before work, I had to put my bank in Paris on the phone through to my bank in Tokyo.
I seriously don’t know which one of the two spoke the least English.
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I would say Paris! 🙂
Who’s to say they didn’t communicate in Spanish?
BTW, there’s a fresh template for your wp-plugins over at veryeasy. Complete with calls to DB!
Time to get the kids excited, wp-plugins is getting a facelift!
who? The guy who had to work as an unpaid French-Japanese translator while he should have been busy dashing off to work.
And I haven’t forgotten about wp-plugins: promise we’ll take care of that by this WE (right now: dayjob and all 🙁 …)
I’m pretty sure the dudes in my Swiss bank (Villars – french part) spoke way more English that the guys in my Japanese bank (Moto-sumi-yoshi in Kawasaki). The Japanese one was still easier to deal with though.
Tim
Well, in this case, I can tell you that, if the guys at Mitsuo spoke close to no English whatsoever, they at least 1) tried 2) rummaged through the entire office in order to get ahold of the one secretary who had attended a couple dozen hours of Nova English classes (not that it’d help much). On the other hand, the guy at HSBC, in addition to being absolutely unable to put together more than three words of meaningful English was definitely not about to get his ass off his chair to help finding a solution to this.
Dave,
I know exactly what you’re saying. Most Japanese bend over backwards to help you – even if it means giving up an hour of their day to assist you with some small insignificant thing. I found the same in the backcountry of Thailand. Getting assistance with a smile was common. In the western world, it’s becoming far to rare.
Tim.
Excuse me once again, but what makes you think that this communication problem is not your problem? « When in Canada do what Canadians do. » How come that you do business with a Japanese bank and you don’t speak Japanese??? Japanese wishing to do business with English or American people are not so stupid, or so infatuated and that’s why they are dominating the US economy nowadays.
Europe is much more different. There’s 25 countries to deal with and many cultures to bring together. The right way to do it is not by nominating one language for all, but encouraging language diversity. There was certainly many persons speaking English at your French bank. But your behaviour over the phone was maybe so imperialistic and (from their point of view, if ever you are one day mature enough to think about it) so unacceptable that they did not care about you.
If you don’t respect foreign cultures, Little Caesar, don’t think about dealing with them. Just continue your so-called “War on Terrorism” and enjoy the results.
Ahem.
Monsieur Amicalmant,
Vous m’excuserez d’employer pour vous répondre l’idiome de Molière (ou de Michel Tremblay si vous préférez, je ne voudrais en aucun cas me faire à nouveau taxer d’impérialisme culturel), mais l’incohérence marquée de vos réponses, conjuguée avec leur absence totale de compréhension pour les billets qu’elles commentent, me laissent craindre que la barrière linguistique ne fasse obstacle. Croyez moi, c’est de loin la moins insultantes des hypothèses qui me vient à l’esprit.
Alors par où commencer?
D’abord en vous suggérant d’éviter de mener une diatribe contre “l’impérialisme culturel” d’autrui, en l’agrémentant de cliché proverbeux un peu hâtivement re-attribué au magnifique pays dont vous hélez (quelque peu bruyamment, il est vrai) lors qu’il m’a toujours semblé que ce sont ces chers citadins Romains dont il fut toujours question :
“When in Rome, do as the Romans do…” suggérez vous donc humblement en substance…
J’ai beau chercher, je peine à voir en quoi mon comportement (linguistique ou culturel) en terre francophone a jamais pu donner matière à plainte de la part des autochtones. Est-ce par hasard mon peu de goût pour la gastronomie batracienne, qui vous semble coupable de non-conformité culturelle ?
Ou alors se pourrait il un instant que vous eussiez, quelque peu hâtivement encore, conclu que la situation décrite en anglais ci-dessus ait impérativement du se dérouler elle-même en anglais ? Si tel est le cas, laissez moi vous rassurer : on parla moins anglais ce jour-là qu’à une assemblée générale du Parti Québécois en 1974.
Français, on parla, Japonais, aussi. Mais anglais, très peu.
Pour tout dire, des trois langues en question, il semblerait que ce fut moi, Petit César Imperator des banques françaises, qui eut à les pratiquer toutes. Me trouvant en effet dans le même bureau que mon cher banquier français, lequel requérait de manière relativement insistante pouvoir confirmer certains détails de vive voix avec mon tout aussi cher banquier japonais, vous comprendrez aisément qu’il me parut légèrement ambitieux de sa part de s’attendre à ce que son interlocuteur nippon ne soit en mesure de lui répondre en français. Car si je n’ai personnellement pas de difficulté à converser avec mon banquier japonais, je soupçonne que cela ne soit en partie dû à ma [bien modeste] pratique de cette langue que vous semblez me recommander chaudement d’apprendre (je suppose que le lien au sommet de la présente page vers mon autre blog, lui aussi dans cette langue, vous a quelque peu échappé). N’ayant pas les même espoirs pour mon banquier français, il me semblait raisonnable de chercher un compromis quelque part en terrain linguistiquement neutre. S’il se peut que j’aie pu de quelque manière heurter votre sensibilité culturelle en suggérant que l’anglais soit approprié à un tel usage, je vous demande humblement de m’en excuser. Je ne manquerai pas la prochaine fois de m’enquérir des capacités en espéranto de l’un et l’autre banquier.
Ce petit détail laborieusement éclairci, et le reste étant du même acabit, vous comprendrez peut-être pourquoi il m’est difficile de ne pas osciller entre le rire et les soupirs de désespoir à la lecture de votre ramassis d’approximations belliqueuses. Je ne suis pas tout à fait sûr de saisir exactement les motifs de votre hargne, mais je puis vous assurer que je n’en suis certainement pas la meilleur cible que vous puissiez choisir.
Comme on dit donc chez nous au Canada : “Think before you type, next time”…
Tel est pris qui croyait prendre, j’en conviens, Dr Dave, and I’m thinking hard before typing this time.
Ce qui m’a attiré ici, c’est avant tout la page “About” du plugin Spam Karma, lequel est très efficace et fort bien conçu. Ce que j’y ai lu semblait provenir d’un anglo-quelque chose souffrant d’un fort complexe de supériorité et manifestant un bruyant dédain pour la francophonie et ses locuteurs. Êtes-vous canadien ou japonais? Cela n’a pas d’importance, au fond, car quoi qu’il en soit, vos jugements à l’emporte-pièce sur la francité, rédigés en anglais et applaudis par plusieurs me paraissent, ahem, détestables. Je vous en ai donc loyalement fait la remarque dans un autre billet et cela m’a immédiatement valu une salve de mépris de votre part.
D’où la sortie ci-dessus, qui n’est ni hargneuse ni belliqueuse, mais simplement défensive. Le fait que vous maitrisiez vous-même très bien le français ne change rien à l’affaire, cela me permet juste de mesurer à quel point votre mépris est profond.
Sur ce, encore une fois, je ne souhaite pas continuer cette discussion car je ne crois pas que vous ayez l’empathie nécessaire pour réagir à ce que je vous dis de façon à ce que nous rapprochions nos points de vue, seul objectif valable de toute discussion. Celle-ci ne peut donc que dégénérer et je n’ai pas envie d’être mêlé à cela plus avant. Bonne chance dans votre vie qui, j’espère, adoucira au fil des décennies votre tempérament et encore merci pour Spam Karma.
Amicalmant
Pour clore ma partie de ce débat que je ne souhaite guère continuer ad nauseam, mais dont je pense qu’il importe encore de clarifier quelques aspects :
Je pense que ce qu’il manque depuis le début à votre lecture des présents billets comme des commentaires qui les accompagnent est un certain sens de l’humour et la réalisation qu’une part importante du ton employé est ce qu’il convient d’appeler “second degré”. Un type d’humour, j’en conviens, pas nécessairement du goût de tous et pas tellement pratiqué, à ma connaissance, au Canada. Mais je pense que toutes les différences culturelles du monde ne justifient pas le fait de se ruer dans les brancards en y empilant immédiatement un nombre impressionants de suppositions fantaisistes à seule fin d’alimenter une volonté de polémiquer (si, si, j’insiste, et j’y viens tout de suite) qui ne me dérangerait à vrai dire pas tant que ça si elles se basaient sur des prémisses un tant soit peu réalistes. En l’occurence, m’assimiler à un quelconque fanatique sécuritaire bushiste, en plus de me faire froler l’hilarité, relève surtout de la plus puérile attaque ad hominem et montre clairement que vous n’avez pas pris la peine de lire préalablement la moindre de mes nombreuses opinions politiques exprimées sur le présent blog (dans la rubrique créativement nommée “Politique”).
Mais je pense que l’aspect le moins excusable de vos précédents commentaires est que vous commettez le forfait même que vous entendez m’imputer…
Tandis que vous vous élevez en héraut auto-désigné de la francité pour en défendre la vertu face à mes intentions supposées inavouables, vous faites preuve sans vous en rendre compte du nombrilisme nationalo-culturel le plus éhonté. J’hésite énormément à me lancer dans cette direction tant je sais le sujet inextricable et épineux, mais il est bien évident que, à travers votre défense du “droit à la francité” des employés de banque parisiens, c’est avant tout à celui des habitants de votre magnifique province que vous pensez. Et vous protesterez sans nul doute que ce droit et la nécessité de le défendre est le même, quel que soit le pays, ce en quoi vous aurez tort et ferez à nouveau preuve de culturo-centrisme. La francité française souffre peut-être à travers sa culture et sa pureté lexico-raciale, si l’on en croit les veillards sénilisants qui peuplent ce bâtiment dont je vois la coupole par ma fenêtre par jour de beau temps… Mais je puis vous assurer que le droit de l’employé de banque parisien à parler français, voire ne parler que français, est tout à fait intact et n’a jamais été menacé que dans vos insécurités (fort compréhensibles) de citoyen québécois. Quoi que l’on puisse penser de l’état du français dans l’une et l’autre contrée, il serait bien ridicule d’oser suggérer que sa situation est la même en tout endroit.
Tout cela étant dit, le point de contention initiale n’a de toutes manières guère lieu d’être, puisque je n’ai jamais arboré la moindre animosité envers la langue française, que j’aime et apprécie, ni même envers ses locuteurs, québécois ou parisiens. que j’aime tout autant (Qui bene amat, bene castigat, comme a dit quelque Canadien). Envers les employés de service pouvant être amené à traiter d’affaires internationales et ne faisant ni l’effort de pratiquer une autre langue que celle de leur pays, ni même celui de s’en excuser et d’aller trouver assistance, en revanche, je me réserve le droit d’afficher à tout le moins, une certaine ironie à peine teintée d’un agacement qui ne verse pas pour autant dans le moindre mépris. Le fait que je prenne la peine de tirer un trait de comparaison à presqu’égal avec les déficiences linguistiques comparables dont souffrent les employés japonais que par ailleurs j’aime et respecte énormément pour la patience dont ils ont bien voulu faire part vis-à-vis de mes propres limitations, devrait suffire à prouver à quelle point mon intention était plus malicieuse que pernicieuse.
Il est ironique qu’alors même que vous postiez ces commentaires, le billet apparaissant au sommet de la page principale de ce blog fustigeait très exactement l’attitude inverse, chez des représentants d’une nationalité que je vous soupçonne ne pas particulièrement porter en votre coeur.
Quant aux différents commentateurs de ce fil, je doute qu’il ne s’y trouve le moindre fanatique anti-français, et je subodore nombre d’entre eux de parler mieux français que vous ne le soupçonnez.
Et finalement, pour répondre à vos interrogations inquiètes : je ne suis ni Canadien, ni Japonais, et doute que la question de ma nationalité ne soit le moins du monde pregnante à la discussion en cours, bien au contraire.
Jeez guys – I was interested in that conversation until you went all French on me. I thought this was an English blog. 😉
Very strange. Your last comment says “September 5th, 2006 at 02:33 pm” but I just received the email notification on Sepember 11th. Looks like you’re as good at manipulating timestamp as you are at manipulating history 🙂
As a matter of fact, I agree since a while that we should stop this debate. I haven’t studied your blog intensively and I may have misinterpreted some of your disturbing comments, I don’t know. What I remember, though, is the chronology of events:
1) I follow the About page link from Spam Karma and I read this:
http://unknowngenius.com/blog/archives/2006/08/26/do-you-know-what-today-is/
“the French got their collective ass handed over to them by
Welsh archery, suffering a humiliating defeat and going on to start the
appropriately named Hundred Years’ War (and you thought Iraq was dragging on).”
Gee, man, that’s not cool. It’s even quite disdainful and I thought appropriate to reply this: http://lnk.nu/unknowngenius.com/b53/
“If you can’t remember the first Declaration of Human Rights, the Battle
of Tannenberg and the beginning of the Earth Summit 2002, how come that
you remember so well the battle of Crécy, so-called Genius? Something
wrong with the French people?”
Instead of kindly welcoming this comment and correcting the way I put it, you replied this:
“To be honest, I probably wouldn’t even know/remember when the hell the
Battle of Crécy took place, if not for the wonders of Wikipedia. As for
Tannenberg: same wikipedia seems to make it happen on the 25th, not the
26th (there again, I wouldn’t know personally). As for the French people:
too many things wrong with them to even start.”
Too many things wrong with them to even start? This is not only ambiguous, this is quite a bit contemptful. But I did not want to fight with whoever you are so I said bye:
“Oh I am sorry, dr Dave. You’re obviously too smart for me. Adieu!”
Sadly, you shot back and hit me right in the chest:
“If by “obviously too smart”, you mean “know how to use an online
encyclopedia”, and by “Adieu”, you mean “I really should stop abusing
medications and leaving nonsensical comments on people’s blogs”… then
yea, most certainly.”
Do you really think that’s humour and that I would have laughed with joy? Come on, man, if you think so you are really really sick. From that comment on, I must admit that I was not happy with you and that I had posted bad vibes in this thread but you gave me a few reasons to behave that way.
In the above comments in French that you posted here, you just put more salt in a widening wound. So please don’t play the game of the insulted, clever man. You’re not clever and you are the one who insulted strangers that did not deserve that.
Besides that, please note that I am not Canadian. I am a 49-year French man born and raised in Paris and now living in Montreal. I will be in Paris next week, by the way, I would be glad to fight you in a shoutout in the Fossés de Vincennes. That’s “second degré” in case you don’t know what this idiomatic means 🙂